dimanche 30 avril 2006
Mumm 1998
Va falloir trouver un cadre pour la Une de l'Equipe et quelques patchs, pour arrêter de fumer... comme promis dans les 5 dernières minutes (on verra...) puis choisir les chiottes, ceux du bas ou du haut, où on accrochera cette Une et enfin, ne pas se lever trop tard pour arriver devant un kiosque en rupture d'Equipe.
Hier soir, aucun SMS des Marseillais spécialistes, Cricri et Ludo. Tiens donc...
Par contre, David au téléphone, depuis la Réunion, en bon Parisien fier comme nous.
Nous, sous-entendu avec François.
Faute de réception de TF1 malgré une antenne d'intérieur achetée dans l'après-midi, nous avons atterri dans un troquet de rugbymen, rue Saint-Michel, dont la déco est très stylée bar des pêcheurs d'Abbeville dixit François, avec un public plus marseillais que parisien mais bon enfant, maillots et klaxons, pintes de bière, luckies.
Et le match : Kalou comme prévu, joueur de finale, et un grand Vikash, homme de grandes occasions, tel que promis à François au bout de 10 minutes de jeu. Des gardiens fébriles, et je savais qu'on avait gagné à la sortie de Pagis, joueur trop clé dans leur jeu.
Ensuite, quelques moments à planer, à évacuer un stress inconscient transporté tout au long de la journée, sans s'en rendre compte, né de la difficulté de rentrer pleinement dans ce match, toute la semaine, toute la journée. Puis du bonheur absolu, à le savourer avec François, le partager avec Anne-Joëlle et Sophie (qui n'avait pas compris ni coupe de France, ni finale en primauté PSG-OM), et enfin, tout seul...
- C'est aussi bien qu'une finale de coupe du Monde gagnée, dis-je à François, lequel pense :
- Quand même pas,
- oui mais pour moi, c'est pareil, je redis
20 ans de tranquillité absolue en vue, plus de minots dont ils pensaient être tranquilles à leur tour pour dix ans, et en regardant dans le rétroviseur, environ une coupe sur 4 pour le PSG depuis 1982 se dit-on avec François sur le retour, rien pour l'OM depuis un moment...
Une bouteille de Mumm 98 et un buzz pour fêter ça, la tranquillité absolue !
Demain, appeler Ludo pour son anniversaire, sans lui parler du match...
Hier soir, aucun SMS des Marseillais spécialistes, Cricri et Ludo. Tiens donc...
Par contre, David au téléphone, depuis la Réunion, en bon Parisien fier comme nous.
Nous, sous-entendu avec François.
Faute de réception de TF1 malgré une antenne d'intérieur achetée dans l'après-midi, nous avons atterri dans un troquet de rugbymen, rue Saint-Michel, dont la déco est très stylée bar des pêcheurs d'Abbeville dixit François, avec un public plus marseillais que parisien mais bon enfant, maillots et klaxons, pintes de bière, luckies.
Et le match : Kalou comme prévu, joueur de finale, et un grand Vikash, homme de grandes occasions, tel que promis à François au bout de 10 minutes de jeu. Des gardiens fébriles, et je savais qu'on avait gagné à la sortie de Pagis, joueur trop clé dans leur jeu.
Ensuite, quelques moments à planer, à évacuer un stress inconscient transporté tout au long de la journée, sans s'en rendre compte, né de la difficulté de rentrer pleinement dans ce match, toute la semaine, toute la journée. Puis du bonheur absolu, à le savourer avec François, le partager avec Anne-Joëlle et Sophie (qui n'avait pas compris ni coupe de France, ni finale en primauté PSG-OM), et enfin, tout seul...
- C'est aussi bien qu'une finale de coupe du Monde gagnée, dis-je à François, lequel pense :
- Quand même pas,
- oui mais pour moi, c'est pareil, je redis
20 ans de tranquillité absolue en vue, plus de minots dont ils pensaient être tranquilles à leur tour pour dix ans, et en regardant dans le rétroviseur, environ une coupe sur 4 pour le PSG depuis 1982 se dit-on avec François sur le retour, rien pour l'OM depuis un moment...
Une bouteille de Mumm 98 et un buzz pour fêter ça, la tranquillité absolue !
Demain, appeler Ludo pour son anniversaire, sans lui parler du match...
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