mercredi 14 juin 2006
My easyjet (3)
Tous les lundis matins, à l'attente de la navette aéroport, place Jeanne d'Arc, il y a un petit jeune qui arrive en même temps que moi, se poste à 5 mètres et attend sa copine. C'est un rendez-vous pour eux, que je devine après un week-end s'en s'être vus : ça se sent à leurs accolades et embrassades dignes des plus grandes retrouvailles : l'impression qu'ils ne se sont pas vus depuis des mois alors que non, lundi dernier, ils s'étaient déjà retrouvés.
Ils m'amusent, car très fashion victims, entre baskets tendance, ceinture à clous, tee-shirt D&G, et surtout la coupe de cheveux que je ne comprends pas, à la schweini, ce joueur allemand du même âge... ou moins connu, Landrin au PSG...
A chaque fois que j'en croise un d'ailleurs comme ça dans la rue, je manque de rire. Et tous les lundis matins, je les vois, attachants car romantiques et tout autant amusants car naifs. Un sacré décalage...
Ils m'amusent, car très fashion victims, entre baskets tendance, ceinture à clous, tee-shirt D&G, et surtout la coupe de cheveux que je ne comprends pas, à la schweini, ce joueur allemand du même âge... ou moins connu, Landrin au PSG...
A chaque fois que j'en croise un d'ailleurs comme ça dans la rue, je manque de rire. Et tous les lundis matins, je les vois, attachants car romantiques et tout autant amusants car naifs. Un sacré décalage...
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