mardi 12 septembre 2006

PSG - OM

C'était bizarre ce match : je n'ai pas réussi à m'enthousiasmer pour avant le début, et une fois devant, avec ces histoires de pénalties étranges, je me suis vite mis à ne regarder cela que d'un oeil. Ca faisait très longtemps que j'avais pas regardé un PSG-OM avec aussi peu d'intérêt : sans doute parce que c'était mon premier match depuis la finale de la coupe du monde et qu'un PSG-OM de début de championnat, ça fait faiblard en face d'une finale de coupe du monde avec la France. Ca m'a plus fait chier de perdre contre Lorient (pour la pute fiorese) ou contre Sochaux (à cause de ces penalties invraisemblables) que contre l'OM hier, et là, je me dis qu'il y a un truc pas normal mais c'est comme ça, sans doute dû à ce PSG par bouts de matchs un peu vaillant, mais assez limité au final. Ensuite, je me demande si ce n'est pas comme France-Italie, quelque part, de battre l'Italie la semaine dernière, ça n'a pas ramené la coupe à la maison, et ça ne le fera jamais : pour les marseillais, ca doit être pareil, ils peuvent tous les gagner, les PSG-OM, ça ne ramenera pas la coupe de france 2006 chez eux : c'est un matelas d'assurance qui n'est près de s'user par des défaites...

Bref, tout ça a fait de moi un supporter parisien bien endormi et bien peu vindicatif. Une sorte d'effet post-coupe du monde mélangé à la dernière finale PSG-OM, sous air comprimé toulousain ?

C'est une étrange sensation que de perdre à domicile contre l'OM et de n'en être aucunement affecté.

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