lundi 11 septembre 2006
L'omelette par Yann
Nils attrappe tout ce qui dépasse du plan de travail de la cuisine, voire même ce qui pendouillerait du bar.
Ainsi, la semaine dernière, il a tiré sur la sangle de mon Appareil photo, pas le numérique tout léger, non, l'argentique bien lourd, qui lui est tombé sur la tête, bosse à la clé pour Nils, pleurs et Arnica pour soulager. Tandis que pour mon appareil, j'ai peur que l'Arnica ne soit pas suffisant.
Donc, nous redoublons de vigilance : aucun couteau de cuisine qui dépasserait et on n'utilise que les deux plaques du fond quand il s'agit de faire bouillir de l'eau.
Et pourtant, la semaine passée, préparant en urgence une omelette pour des enfants morts de faim, car il était déjà trop tard, je pose le saladier et les six oeufs sur le plan de travail. A peine le temps de me retourner que Nils était passé par là et avait tout renversé.
Une fois tout ceci ramassé (et c'est du sport, six oeufs gluant sur le carrelage), puis réexpliqué à Nils qu'on n'attrappe pas tout ce qui dépasse (et encore, là, un saladier, ça ne dépasse pas), un aller-retour vers l'épicerie du quartier pour de nouveaux oeufs. Re-omelette, et cette fois-ci, avec la participation active des enfants au fouet pour mélanger.
Ainsi, la semaine dernière, il a tiré sur la sangle de mon Appareil photo, pas le numérique tout léger, non, l'argentique bien lourd, qui lui est tombé sur la tête, bosse à la clé pour Nils, pleurs et Arnica pour soulager. Tandis que pour mon appareil, j'ai peur que l'Arnica ne soit pas suffisant.
Donc, nous redoublons de vigilance : aucun couteau de cuisine qui dépasserait et on n'utilise que les deux plaques du fond quand il s'agit de faire bouillir de l'eau.
Et pourtant, la semaine passée, préparant en urgence une omelette pour des enfants morts de faim, car il était déjà trop tard, je pose le saladier et les six oeufs sur le plan de travail. A peine le temps de me retourner que Nils était passé par là et avait tout renversé.
Une fois tout ceci ramassé (et c'est du sport, six oeufs gluant sur le carrelage), puis réexpliqué à Nils qu'on n'attrappe pas tout ce qui dépasse (et encore, là, un saladier, ça ne dépasse pas), un aller-retour vers l'épicerie du quartier pour de nouveaux oeufs. Re-omelette, et cette fois-ci, avec la participation active des enfants au fouet pour mélanger.
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