dimanche 24 septembre 2006

Paname

Paname, c'est fatiguant, c'est jamais couché avant 3 heures, et jamais levé plus tard que 8.
C'est un temps court à partager entre plein de monde que l'on n'a pas vu depuis longtemps (2 mois n'est pas long mais l'habitude prise de se voir toutes les semaines, voire tous les jours donne à ce nouveau rythme une autre relativité).
Paname, c'est remettre en jeu son titre de master of flechettes à chaque fois, kilkenny en main.
C'est aussi, terminer par une nuit blanche et un second bon résultat de poker (4eme sur 39 après 2eme sur 10 la veille, et un global net de 105 euros sur les deux soirs).
C'est la découverte qu'on peut changer de vol à la dernière minute sur Air France et ça change d'Easyjet.

C'est l'occasion de rouler en C1, drôle de bagnole où on entend bien le moteur, avec un coffre si petit qu'il permet de vérifier que votre bagage sera accepté en cabine d'avion, car le mien, conçu pour être accepté en cabine, n'aurait pas supporté d'être 5 centimètres plus large.

Une C1, ça ressemble aux petites voitures qu'a Nils et qu'il déplace dans son garage à 3 étages.

Je peux en parler car j'en ai bien profité de cette voiture, au point de me perdre du coté de Versailles, là où les méandres de la banlieue sont pour moi un vrai labyrinthe, pour aller de Palaiseau à Petit Clamart, en passant par Paris et l'autoroute de Rouen puis celle de Créteil.

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