jeudi 28 décembre 2006
2006, bientôt fini...
Quand je regarde en arrière, je pense tout d'abord que l'année 2006 n'a pas été si remplie que cela, puis je creuse, et j'ajoute des éléments les uns à la suite des autres, je construis une liste qui de toute petite de prime abord, s'allonge à n'en plus finir, et j'en conclus que 2006 aura été sacrément bien remplie.
2006, ça a d'abord commencé par ranger tous les outils que j'avais utilisés en 2005, de les oublier, fatigué des travaux, du bricolage, les ignorer durant 9 mois avant de les ressortir et d'en faire un passe-temps certaines fois, une obligation, d'autres fois, sur le dernier trimestre.
2006, ça aura été aussi l'année de mon blog, et ça n'est pas rien. C'est beaucoup de temps, et j'ai compilé au format papier, les 3 premiers mois, comme pour un premier tome qui, une fois imprimé, relève plus de la taille d'une encyclopédie que d'une check-list. Ca m'a renversé cette masse de papier.
2006, c'est l'année où je change de travail, de ville, où je quitte France 3 à Paris, et où j'atteris à Toulouse, en société de services (que je ne nomme pas depuis que j'ai découvert que notre cher président recevait chaque matin dans sa messagerie des alertes Google effectuées à partir du nom de l'entreprise).
En conséquence, 2006, c'est une année que je commence avec EasyJet et que je termine avec Air France, un sacré bond dans la hiérarchie sociale, ça.
2006, c'est une année pleine de poker, sur Internet et en vrai, pleine de moments sympas, de nuits couché à pas d'heure pour jouer aux cartes. De nouveaux amis aussi grace à ça.
2006, ça a été presque deux mois de vacances en été, l'un à faire semblant de travailler pour clôturer 3 mois magnifiques passés à fêter mon départ de France 3 et de Paris, l'autre, de vraies vacances en Egypte et en Suède.
2006, c'est l'année où on a annulé notre voyage à la Réunion à cause des moustiques et du chikungunya. Et là, j'ai vu qu'Air France, c'était pas si bien que ça, en fait.
2006, ça a été recevoir l'amour de Sophie, de mes enfants, et de tenter de leur en donner tout autant. Comme les précédentes. Comme les suivantes, j'espère.
2006, c'est l'accident de mon Papa, heurté comme un fragile piéton par une solide voiture de chauffard et je suis bien content de l'entendre encore de vive voix. La vie n'a pas de prix.
2006, ce sont mes enfants qui grandissent, Sophie et moi qui vieillissent.
2006, ça aura été souvent avec Fred, sur Toulouse, à la maison puis quelques sorties.
2006, ça aura aussi été beaucoup l'année du Nicaragua à la maison, gràce à Maria et Loana, un peu celle de la Chine, à cause de Lin, d'Emmma ou de Yan et un échec colombien nommé Adriana.
2006, ça aura été la coupe du monde, à laquelle j'ai cru dès le début, et une virée en Allemagne avec François qui restera un énorme souvenir, à faire le supporter français de base, bières à la main, puant, dans un melting-pot mondial digne de Saint-Denis. Je peux dire que c'est une année où j'ai eu la confirmation que les allemands savent vraiment faire la fête.
2006, c'est plein d'autres trucs que j'oublie mais c'est pas grave, je me replongerais dans quelques semaines, mois, années, dans ce que j'aurais gravé ici.
Au revoir, 2006 !
2006, ça a d'abord commencé par ranger tous les outils que j'avais utilisés en 2005, de les oublier, fatigué des travaux, du bricolage, les ignorer durant 9 mois avant de les ressortir et d'en faire un passe-temps certaines fois, une obligation, d'autres fois, sur le dernier trimestre.
2006, ça aura été aussi l'année de mon blog, et ça n'est pas rien. C'est beaucoup de temps, et j'ai compilé au format papier, les 3 premiers mois, comme pour un premier tome qui, une fois imprimé, relève plus de la taille d'une encyclopédie que d'une check-list. Ca m'a renversé cette masse de papier.
2006, c'est l'année où je change de travail, de ville, où je quitte France 3 à Paris, et où j'atteris à Toulouse, en société de services (que je ne nomme pas depuis que j'ai découvert que notre cher président recevait chaque matin dans sa messagerie des alertes Google effectuées à partir du nom de l'entreprise).
En conséquence, 2006, c'est une année que je commence avec EasyJet et que je termine avec Air France, un sacré bond dans la hiérarchie sociale, ça.
2006, c'est une année pleine de poker, sur Internet et en vrai, pleine de moments sympas, de nuits couché à pas d'heure pour jouer aux cartes. De nouveaux amis aussi grace à ça.
2006, ça a été presque deux mois de vacances en été, l'un à faire semblant de travailler pour clôturer 3 mois magnifiques passés à fêter mon départ de France 3 et de Paris, l'autre, de vraies vacances en Egypte et en Suède.
2006, c'est l'année où on a annulé notre voyage à la Réunion à cause des moustiques et du chikungunya. Et là, j'ai vu qu'Air France, c'était pas si bien que ça, en fait.
2006, ça a été recevoir l'amour de Sophie, de mes enfants, et de tenter de leur en donner tout autant. Comme les précédentes. Comme les suivantes, j'espère.
2006, c'est l'accident de mon Papa, heurté comme un fragile piéton par une solide voiture de chauffard et je suis bien content de l'entendre encore de vive voix. La vie n'a pas de prix.
2006, ce sont mes enfants qui grandissent, Sophie et moi qui vieillissent.
2006, ça aura été souvent avec Fred, sur Toulouse, à la maison puis quelques sorties.
2006, ça aura aussi été beaucoup l'année du Nicaragua à la maison, gràce à Maria et Loana, un peu celle de la Chine, à cause de Lin, d'Emmma ou de Yan et un échec colombien nommé Adriana.
2006, ça aura été la coupe du monde, à laquelle j'ai cru dès le début, et une virée en Allemagne avec François qui restera un énorme souvenir, à faire le supporter français de base, bières à la main, puant, dans un melting-pot mondial digne de Saint-Denis. Je peux dire que c'est une année où j'ai eu la confirmation que les allemands savent vraiment faire la fête.
2006, c'est plein d'autres trucs que j'oublie mais c'est pas grave, je me replongerais dans quelques semaines, mois, années, dans ce que j'aurais gravé ici.
Au revoir, 2006 !
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