mardi 5 février 2008
Grant Lee Philips
Ce matin, je sélectionne sur l'ipod branché sur mes oreilles une musique à vingt à l'heure, pour être à la même vitesse que la voiture freinée par les bouchons.
Je viens d'éteindre ma cigarette, Grant Lee Philips égrenne ses chansons. La vitre passager est restée abaissée, et un soleil de dix heures me chauffe la joue gauche. C'est plus qu'agréable, et je laisse la vitre abaissée pour profiter du froid extérieur qui se mixe délicatement avec les rayons et se pose en contrepoids du soleil sur ma joue. C'est un mélange subtil et une sensation de douceur. Alors, la chanson 5 démarre. Je mets quelques secondes à retrouver le nom de cette reprise qui complète le panorama. Très vite, Killing Moon d'Echo & The Bunnymen flotte dans mon cerveau. C'est un pur moment de bonheur jusqu'à ce que le bouchon se résorbe au moment même où le morceau s'arrête. La vie et la voiture reprennent de concert une allure plus vive. Le temps où tout s'est rejoint dans une belle harmonie est terminé...
Je viens d'éteindre ma cigarette, Grant Lee Philips égrenne ses chansons. La vitre passager est restée abaissée, et un soleil de dix heures me chauffe la joue gauche. C'est plus qu'agréable, et je laisse la vitre abaissée pour profiter du froid extérieur qui se mixe délicatement avec les rayons et se pose en contrepoids du soleil sur ma joue. C'est un mélange subtil et une sensation de douceur. Alors, la chanson 5 démarre. Je mets quelques secondes à retrouver le nom de cette reprise qui complète le panorama. Très vite, Killing Moon d'Echo & The Bunnymen flotte dans mon cerveau. C'est un pur moment de bonheur jusqu'à ce que le bouchon se résorbe au moment même où le morceau s'arrête. La vie et la voiture reprennent de concert une allure plus vive. Le temps où tout s'est rejoint dans une belle harmonie est terminé...
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