A l'aller et au retour de nos courtes vacances à Bouzigues, nous avons dû, la faute au bateau pirate installé sur sa plage, effectuer plusieurs arrêts à Valras-plage.Au retour, j'y ai vécu un vrai cauchemar, endormi sur une lecture de france football sur une plage quasi-déserte, je me suis soudainement réveillé envahi par les beaufs, tous empilés les uns sur les autres, et s'agglutinant à moins de cinquante centimètres de ma serviette, le tout, hurlant sur leurs gamins. Le soleil était revenu, les beaufs avec, et je me serais bien passé de ce réveil somme toute cauchemardesque. J'ai finalement supplié Sophie de quitter Valras-Plage dans les tous meilleurs délais, constant qu'aucune amélioration de la qualité de vie sur cette plage n'était plus possible, lui demandant de se débrouiller avec les enfants pour qu'ils acceptent ce départ précipité, malgré le bateau-pirate...
A 37 ans, je n'avais pas été sur ces plages surpeuplées du sud depuis fort longtemps, au point de m'y sentier presque claustrophobe, sensation exacerbée par le réveil brutal en des lieux ayant changé entre-temps. Nous ne sommes pas certains d'y retourner de sitôt, préférant les endroits avec davantage de silence et moins de cohue...
Valras-Plage, ça n'est pas comme sur cette photo. C'est m'a dit Sophie ensuite, là où il y aurait le plus grand camping de France. Evidemment...
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