Cette idée, ce sens positif, ce contre-sens du fleuve ambiant, me vaudront même de passer au JT de 13 heures de TF1 le lundi, ayant été quasiment le seul supporter à tenir un discours positif à la sortie du stade. Raccourci au montage, le propos reste là, ramené à huit petites secondes. Quand j'ai dit ça au boulot, ce lundi, certains réduits d'esprit m'ont presque vu comme un traître passé à l'ennemi, la télévision privée. Mais j'ai omis de dire que les journalistes de France 2 que j'avais été saluer dans l'après-midi avaient été plus qu'antipathiques, parce que j'étais de France 3 (et dire que depuis des mois, on n'entend parler, en interne, dans la boutique, que de patriotisme de groupe). Bref, j'aurais eu mes 8 secondes de gloire, comme dit Warhol, sur TF1 plutôt que dans le groupe dans lequel je travaille depuis plus de 4 ans.









Pour le jeu, que dire ? que c'est un match qu'on aurait dû gagner dix mille fois. Il n'y a quasiment aucun regret à avoir, si ce n'est de faire rentrer Trezeguet quinze minutes plus tôt, avant le but coréen sur leur seule demi-occase. Il piaffait derrière le but de Barthez en s'échauffant.
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